Interrogé, ce mardi, à l’issue de l’audience que lui a accordé le ministre congolais des affaires Etrangères, M. Nick Kay, ambassadeur de Grande Bretagne en poste à Kinshasa a indiqué avoir fait avec son hôte le point sur quelques une des questions d’actualité liées aux relations entre son pays et la RDC.
Nick Kay : Oui, nous avons fait un tour d’horizon sur nos différents programmes de coopération et notre engagement ici en RDC avec le ministre. C’était une bonne conversation.
Question : Avez-vous évoqué la question de la sécurité de vos compatriotes en RDC ?
NK : Bon. Nous avons un peu parlé du malentendu de l’autre fois, j’ai expliqué aux autorités congolaises que c’était quelque chose de routine, de normal qui n’implique pas du tout le fait qu’il y ait de l’insécurité et de l’instabilité ici. Pas du tout. J’ai aussi souligné que notre engagement dans le pays est un engagement croissant ; que nous ne fermons pas du tout l’Ambassade maintenant. Nous avons plus de personnel ici maintenant, nous avons plus de programmes de coopération, nous construirons de nouveaux bâtiments. Notre présence ici est ferme et continue et nous allons accompagner votre pays durant les prochains trois ans.
Question : Peut-on dire que la mutation des membres de votre personnel vers Nairobi est une fausse information ?
NK : Nous n’avons pas déplacé notre personnel à Nairobi. Nous avons changé la procédure qui concerne les visas. Nous procédons aujourd’hui comme la plupart d’ambassades en Afrique. Cette procédure fait usage d’un grand centre de gravité, comme peut l’être Nairobi et où ils font le travail de visas. Nous acceptons ici les demandes. Nous les envoyons à Nairobi et nous recevons les réponses ici. D’autres pays utilisent le même système. C’est au fait une logique économique. C’est moins cher d’avoir un système comme celui-ci que d’avoir beaucoup de services d’immigration dans toutes les ambassades en Afrique. C’est donc plus une logique économique que politique. Tout au contraire, notre engagement ici augmente jour après jour.
Question : Avez-vous évoqué la question de la sécurité de vos compatriotes en RDC ?
NK : Bon. Nous avons un peu parlé du malentendu de l’autre fois, j’ai expliqué aux autorités congolaises que c’était quelque chose de routine, de normal qui n’implique pas du tout le fait qu’il y ait de l’insécurité et de l’instabilité ici. Pas du tout. J’ai aussi souligné que notre engagement dans le pays est un engagement croissant ; que nous ne fermons pas du tout l’Ambassade maintenant. Nous avons plus de personnel ici maintenant, nous avons plus de programmes de coopération, nous construirons de nouveaux bâtiments. Notre présence ici est ferme et continue et nous allons accompagner votre pays durant les prochains trois ans.
Question : Peut-on dire que la mutation des membres de votre personnel vers Nairobi est une fausse information ?
NK : Nous n’avons pas déplacé notre personnel à Nairobi. Nous avons changé la procédure qui concerne les visas. Nous procédons aujourd’hui comme la plupart d’ambassades en Afrique. Cette procédure fait usage d’un grand centre de gravité, comme peut l’être Nairobi et où ils font le travail de visas. Nous acceptons ici les demandes. Nous les envoyons à Nairobi et nous recevons les réponses ici. D’autres pays utilisent le même système. C’est au fait une logique économique. C’est moins cher d’avoir un système comme celui-ci que d’avoir beaucoup de services d’immigration dans toutes les ambassades en Afrique. C’est donc plus une logique économique que politique. Tout au contraire, notre engagement ici augmente jour après jour.
Question : Peut-on dire que la sécurité de l’ambassadeur Nick Kay à Kinshasa est bonne ?
NK : Ma sécurité est très bonne. Je vis déjà ici avec ma famille. Nous sommes très contents, très heureux et très détendus ici, nous aimons beaucoup le pays et nous n’avons pas du tout peur.
Question : Quel est l’état de la coopération entre la RDC et votre pays ? Pouvez-vous nous tracer un état de lieu beaucoup plus actualisé de cette coopération ?
NK : L’état des lieux est très positif. Nous avons eu la semaine dernière la visite de notre directeur de coopération ici qui a annoncé notre programme estimé à un montant de 600 millions de dollars américains sur trois ans et va concerner tous les aspects de développement du pays, notamment les routes, l’éducation, la santé, la bonne gouvernance, la reforme du secteur de sécurité. Nous avons un grand programme de coopération qui nous permettra d’accompagner le pays vers son développement intégral.- (juvénal mutoo/minaffeci 17 nov. 2008)
NK : Ma sécurité est très bonne. Je vis déjà ici avec ma famille. Nous sommes très contents, très heureux et très détendus ici, nous aimons beaucoup le pays et nous n’avons pas du tout peur.
Question : Quel est l’état de la coopération entre la RDC et votre pays ? Pouvez-vous nous tracer un état de lieu beaucoup plus actualisé de cette coopération ?
NK : L’état des lieux est très positif. Nous avons eu la semaine dernière la visite de notre directeur de coopération ici qui a annoncé notre programme estimé à un montant de 600 millions de dollars américains sur trois ans et va concerner tous les aspects de développement du pays, notamment les routes, l’éducation, la santé, la bonne gouvernance, la reforme du secteur de sécurité. Nous avons un grand programme de coopération qui nous permettra d’accompagner le pays vers son développement intégral.- (juvénal mutoo/minaffeci 17 nov. 2008)
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