Sudir Ruparelia, à l'issue de son entrevue avec le ministre congolais des Affaires étrangères(Début Interview).- Qu’est-ce que le Congo peut attendre de vous en votre qualité d’homme d’affaire africain ?
Sudhir Ruparelia : Ce que j’apprécie d’abord et qui me motive est que la RDC a maintenant un bon et stable leadership issu des élections libres et transparentes, dirigé par le Président Joseph Kabila. J’ai rencontré le ministre congolais des Affaires étrangères en Ouganda en décembre dernier. Il m’a chaleureusement exhorté à venir investir ici. C’est ainsi que sur sa proposition, l’ambassadeur et député national KAZADI NYEMBWE, avec qui j’ai de relations très amicales depuis plus de dix ans, a été dépêché à Kampala pour que je vienne visiter le Congo. C’est en tous cas ma première fois d’arriver à Kinshasa et je peux vous assurer que je viens d’apprécier cette ville.
Q. : Quels sont les domaines qui intéressent vos projets d’investissement en RDC ?
Sudhir Ruparelia : Deux grands projets m’intéressent grandement ici au Congo. Il s’agit du secteur bancaire et le secteur touristique à travers lequel nous voulons construire deux hôtels à Kinshasa dont l’un au centre ville et l’autre dans la périphérie de la ville au bord du fleuve Congo. L’hôtel que nous comptons construire au centre ville de Kinshasa aura une capacité maximale de plus de 500 chambres avec une possibilité de plus de 20 salles de conférences internationales. Cet hôtel à lui seul pourra probablement embaucher plus de 900 agents.
Q. : Pouvez-vous nous faire une idée sur le coût global de tous ces investissements ?
Sudhir Ruparelia : Je pense que le secteur hôtelier pourra globalement nous coûter plus de 35 millions de dollars américains et pour nos investissements bancaires, comme la législation congolaise en la matière l’exige, nous devons alors mettre un paquet de 5 millions de dollars américains rien que pour la phase de démarrage de ce secteur. Tout ceci ne sera que pour un début mais plus tard nous verrons comment nous rendre plus visible que possible.
Q. : A quand le démarrage effectif de ces projets et combien de temps cela va prendre pour qu’ils soient réalisés ?
Sudhir Ruparelia : Je ne suis qu’à ma première visite de prospection. Le reste à faire est entre les mains des officiels congolais ici présent qui pourront m’indiquer les terrains qui pourront accueillir tous ces projets et le reste suivra. Mais je peux vous assurer que je voudrais commencer les travaux le plutôt possible. - (Fin interview). - minaffeci/29 avril 2008
Sudhir Ruparelia : Ce que j’apprécie d’abord et qui me motive est que la RDC a maintenant un bon et stable leadership issu des élections libres et transparentes, dirigé par le Président Joseph Kabila. J’ai rencontré le ministre congolais des Affaires étrangères en Ouganda en décembre dernier. Il m’a chaleureusement exhorté à venir investir ici. C’est ainsi que sur sa proposition, l’ambassadeur et député national KAZADI NYEMBWE, avec qui j’ai de relations très amicales depuis plus de dix ans, a été dépêché à Kampala pour que je vienne visiter le Congo. C’est en tous cas ma première fois d’arriver à Kinshasa et je peux vous assurer que je viens d’apprécier cette ville.
Q. : Quels sont les domaines qui intéressent vos projets d’investissement en RDC ?
Sudhir Ruparelia : Deux grands projets m’intéressent grandement ici au Congo. Il s’agit du secteur bancaire et le secteur touristique à travers lequel nous voulons construire deux hôtels à Kinshasa dont l’un au centre ville et l’autre dans la périphérie de la ville au bord du fleuve Congo. L’hôtel que nous comptons construire au centre ville de Kinshasa aura une capacité maximale de plus de 500 chambres avec une possibilité de plus de 20 salles de conférences internationales. Cet hôtel à lui seul pourra probablement embaucher plus de 900 agents.
Q. : Pouvez-vous nous faire une idée sur le coût global de tous ces investissements ?
Sudhir Ruparelia : Je pense que le secteur hôtelier pourra globalement nous coûter plus de 35 millions de dollars américains et pour nos investissements bancaires, comme la législation congolaise en la matière l’exige, nous devons alors mettre un paquet de 5 millions de dollars américains rien que pour la phase de démarrage de ce secteur. Tout ceci ne sera que pour un début mais plus tard nous verrons comment nous rendre plus visible que possible.
Q. : A quand le démarrage effectif de ces projets et combien de temps cela va prendre pour qu’ils soient réalisés ?
Sudhir Ruparelia : Je ne suis qu’à ma première visite de prospection. Le reste à faire est entre les mains des officiels congolais ici présent qui pourront m’indiquer les terrains qui pourront accueillir tous ces projets et le reste suivra. Mais je peux vous assurer que je voudrais commencer les travaux le plutôt possible. - (Fin interview). - minaffeci/29 avril 2008
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire